LE  CHÂTEAU  EN  2010

 

Les escaliers

    On y accède du côté de la rue des Chanoines qui mène à Fourdrinoy, par l’escalier « Saint-Martin » composé de 141 marches en grès.

    Du côté de la chapelle de la Maison de retraite, un escalier d’une centaine de marches en grès mène à la porte du Gard : c’est l’escalier « Saint-Jean », au bas duquel se trouve une petite niche avec une statuette de Saint Jean.


La Porte du Gard

    La Porte du Gard tient son nom de l’abbaye du Gard. Elle donne accès à la « basse-cour » et à la collégiale. Elle a conservé son aspect gothique, en arc tiers point flanquée de deux tourelles d’angle. Des écussons restaurés couronnent cette porte.

   On aperçoit encore les traces du passage de la herse (herse encore visible avant la deuxième guerre mondiale). De chaque côté, un corps de garde à l’intérieur des tours.


Le Pavillon Sévigné

    Près de là, un bâtiment carré à 2 étages, de style renaissance, Le Pavillon Sévigné, et ses hautes fenêtres accompagnés d’œils-de-bœuf. Son bel escalier de pierre sert à mener le visiteur à la seconde cour.


L'entrée du Bois de Neuilly

    C’est l’entrée principale du château ; elle est composée d’une grand-porte et d’une poterne (passage piétons).

De chaque côté, des archères derrière lesquelles s’abritaient les défenseurs.


La barbacane

Cette construction du XIVème siècle a remplacé l’ancien pont-levis.


L'entrée du château

Derrière la barbacane, l’entrée du château entourée d’un arc de plein cintre à bossages.

    Le chemin est pavé en grès ; on voit encore la trace des roues. De chaque côté, une niche creusée dans l’épaisseur du mur.

Sur la droite, un poste de garde et sa meurtrière.


Les fossés

Ils assuraient la défense du château.


La façade sud

    Les murs font 5 mètres d’épaisseur. Les deux premières fenêtres éclairaient une grande salle de 18 m de long. La 3ème fenêtre s’ouvrait sur le cabinet des archives.

Les grandes fenêtres à meneaux étaient entourées de grilles.


La façade côté collégiale

On voit la prison et le Pavillon Sévigné.


Vues de la cour

    La cuisine, une fenêtre, d’anciens trous où étaient posés le plancher de bois , un trou d’obus de la seconde guerre mondiale, vus de la cour.


La cuisine (l'intérieur)

La porte d’entrée.

La cheminée, le sol en pente afin de permettre à l’eau de couler.

Une date au plafond devenue illisible (1581 ?) ; des fenêtres qui bien qu’étroites éclairent bien la pièce.

Un crochet pour pendre le cochon.


La cuisine (l'extérieur)

Les murs de la cuisine se dégradent avec le temps.

Il ne reste plus grand chose des anciennes inscriptions que Philippe Emmanuel d’Ailly avait fait graver en 1574.


La prison

Vues de l'extérieur

L’escalier qui descend à la prison et l’étroit couloir qui mène à la prison

La voûte de la prison et la « fenêtre »

Aux murs des graffitis


Les caves

La porte d’entrée et l’escalier

Les marches qui mènent aux caves et le couloir de briques

Les niches

Le plafond : les arcs boutant et les crochets

D'autres vues


Les sanitaires

Dans les murs du château, se trouvent des cabinets de toilettes.


Quelques vues des abords du château

Le cimetière, le monument aux morts

Le jardin

Le chemin du Rossignol

La ferme du château