SA
RECONVERSION |
La roue tourne.
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Photo
G. Rouard (Collection Pierre Pardoën) |
Après avoir fait une jolie carrière de coureur cycliste, Pierre décide de raccrocher, le 26 mai 1959 après le critérium d’Amiens à La Hotoye, qui fut donc sa dernière course.
En 1959, Pierre
s’installe rue Vulfran Warmé à Amiens et crée un
atelier de tôlerie. Il a un ouvrier. Quelques années après,
en 1969, devant la réussite de son activité, l’atelier
est trop petit ; il doit s’installer sa carrosserie à Rivery.
Il a alors 35 ouvriers !
« Au début, les gens venaient chez moi parce que j’étais
ancien coureur cycliste, après on est allé chez Pardoën,
parce qu’on y fait du travail sérieux. Finalement, j’ai
bien fait d’arrêter la compétition jeune, peut-être
qu’après, je n’aurais pas eu les mêmes conditions
pour m’installer... » confie Pierrot.
Pierre Pardoën, dans son atelier de carrosserie de Rivery en 1984. |
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Photo
Courrier Picard |
En 1989, l’heure de la retraite sonne, sa fille Valérie reprend la carrosserie PARDOËN à Rivery. « Elle réussit bien, je suis content. », dit Pierrot.
En
vacances à Courchevel. |
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Collection
Pierre Pardoën |
Aux sports d’hiver avec M. DELAPIERRE, Pierre n’était plus coureur cycliste. Il habitait rue Vulfran Warmé. C'était un ancien commissaire international, mais aussi un ami intime de Pierre ; cependant, en course il était impartial et il ne se privait pas pour donner des amendes !
Pierre devient Maire de Belloy
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Pierre et Paulette résident à Belloy-sur-Somme. Lors de l’élection municipale de 1983, Pierre est élu Conseiller Municipal. Six ans plus tard, en 1989, il deviendra Maire. En 2001, après avoir fait un deuxième mandat de Maire, il décide d’arrêter. Belloy a eu un bon Maire ! |
Photo
Courrier Picard |