LES  INCENDIES
1844 : Incendie à la maison de Nicolas CARON, sur la route, dans la nuit du 19 juillet.
1844 : Incendie à la grange de Benjamin ANSELMET, le 7 août, vers les 3 heures de l’après
midi. On venait d’éteindre, un quart d’heure auparavant autre commencement d’incendie au puits de François GUILLERAND, adjoint au maire.
1844 : Incendie le 19 octobre à la boutique de François CARON.
1845 : Incendie à la maison de Constant HORVILLE, le 12 avril vers les 9 heures du matin.
1850 : Commencement d’incendie , le 7 février, aux bâtiments de Joseph FLANDRE, vers 7
heures du soir. A la même heure, incendie à la cendrière d’Eloi FRERE, éteint à l’instant même.
1852 : Incendie chez FOUACHE à Tirancourt, le 4 août à midi.
1858 : Le 3 décembre, un commencement d’incendie eut lieu à La Chaussée aux bâtiments de
 Hyacinthe DOMONT.
1867 : Le 2 avril, incendie à la grange de GOURGUECHON Joseph, de La Chaussée, vers les
 2 heures du matin.
1882 : Incendie, le 25 février, aux bâtiments d’Irénée BONDOIS, sur la route.
1885 : Le 26 février, dans la soirée ou dans la nuit, tentative d’incendie aux bâtiments de
 Marie CARON, veuve Joseph HUGUES.
1887 : Le 3 octobre, incendie à Tirancourt, rue de l’Abreuvoir, aux bâtiments d’Irénée
 FOUACHE, à 5 h et demie du soir.
1887 : Le 14 avril, commencement d’incendie, à midi, à la maison de feu Charles GAVOIS,
        de La Chaussée, de la Rue Neuve, occasionné par des jeunes enfants, n’ayant pas l’âge
de discernement.
1891 : Le 26 mars, incendie à la grange d’Irénée BONDOIS, située sur la route de Belloy, à
3h et demie du matin. (angle de la rue de la carrière)
1891 : Irénée BONDOIS a trouvé dans sa grange à la ferme de la cavée (haut rue de
 Vignacourt) une tourbe carbonisée, enfermée dans une gazette.
1892 : Incendie le 7 mars chez Paul GUILLERAND à 2 heures et demie du matin Il n’eut que
ses étables de brûlées.
1895 : Le 19 novembre, commencement d’incendie, chez Edouard FOUACHE, dans un buffet
 à 4 heures et demie du matin.
1898 : Incendie, le 20 décembre à la maison d’Emile DOMONT, vers les 5 heures du soir.
1901 : Le 25 avril, embrasement d’une cheminée, rue Neuve, chez Ernest DUQUESNOY,
locataire de Thimotée BONDOIS ; pertes peu importantes.